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Si près et pourtant si loin.

Si vous voulez imaginer ce que nous avons en tête avec #1Patient1Record4Belgium, vous pouvez vous informer et suivre l’énorme bond en avant que les pays nordiques sont en train de réaliser ensemble. Là, ils sont en bonne voie de normaliser et de fournir un accès réglementé à l’enregistrement et à la gestion des dossiers médicaux entre les pays. Ainsi, après une glissade sur un glacier islandais, un Danois peut également recevoir le meilleur traitement possible aux urgences du Landspítali Fossvogi (l’hôpital national de Reykjavik). Par exemple, parce que les soignants constatent que le Danois en question souffre d’un ulcère chronique de l’estomac qui peut rendre mortelle l’utilisation d’un simple ibuprofène.

Respect de la vie privée

Mais on peut aussi regarder plus près de chez nous, comme aux Pays-Bas. Bien que tout le monde n’ait pas encore ses antécédents médicaux sur simple pression d’un bouton, beaucoup de travail est en cours pour centraliser et standardiser les données. Les patients peuvent ensuite visualiser et partager ces données via le PGO, Persoonlijke Gezondheidsomgeving (ou environnement de santé personnel) de leur choix. En outre, chaque personne peut déterminer très précisément via le Landelijk Schakelpunt quels prestataires de soins peuvent échanger des données entre eux et surtout lesquels ne reçoivent pas l’autorisation de les échanger. Par exemple, votre dentiste peut être au courant de votre utilisation d’anticoagulants, mais il n’a pas besoin de savoir quoi que ce soit sur la peur de l’avion pour laquelle vous êtes traité. Ce respect de la vie privée et ce niveau de contrôle sont également une condition de notre pétition.

Bonne question

Ce qui est peut-être le plus frustrant dans la recherche d’un meilleur système en Belgique, c’est que nous sommes en fait sur la bonne voie. Nous sommes – comme nous l’avons déjà établi – les champions de la collecte et de l’enregistrement des données. De plus, la numérisation est avancée et les prestataires de soins échangent régulièrement des données, avec ou sans autorisation et sans doute avec les meilleures intentions. Le patient ne s’en aperçoit tout simplement pas. Il ou elle n’a aucun contrôle et aucune idée où chercher.

Un étranger regardant de loin le rapport médical et l’infrastructure en Belgique pourrait conclure que nous avons déjà commencé à concrétiser l’idée #1Patient1Record4Belgium et ensuite se demander : « Mais quand vont-ils le finir ? »

Bonne question.

Signez la pétition si vous pensez aussi qu’une infrastructure de soins de santé transparente pour la Belgique n’est pas une question de volonté, mais de nécessité.

Jan Vekemans

Nous avons parcouru un long chemin. Finissons donc le travail. Merci d’avance!

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